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Top 10 des trucs complètement cons que le cinéma raconte sur les femmes

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Le cinéma, déjà de base, ça raconte n’importe quoi parce que c’est que de la fiction avec des fausses histoires et des faux gens qui jouent des rôles de personnes qui n’existent le plus souvent même pas dans la vraie vie. Abusay. Alors forcément dans la série des clichés véhiculés par le septième art, les femmes en prennent pour leur grade. On vous avait déjà parlé des clichés sexistes mais là on a voulu vous montrer plus particulièrement qu’en ce qui concerne le sexe féminin, il y a pas mal d’erreurs d’interprétation de la part de nos cinéastes.

1. Non, les femmes n'ont pas un orgasme lors d'un qweekie de 2 secondes

La plupart des scènes de sexe à Hollywood donne l’impression qu’une bonne partie de jambe en l’air se solde toujours par un orgasme simultané entre l’homme et la femme, et qu’un clin d’œil peut s’ensuivre d’une petite pétée tranquillou entre deux portes tout habillés de 35 secondes et que ça suffit amplement pour prendre son pied. Alors non en fait le sexe n’est pas si rapide à exécuter dans de bonnes conditions. En tout cas il y a peu de chances qu’il permette un véritable orgasme féminin.

Source photo : Giphy

2. Non, les femmes ne perdent pas les eaux avant d'accoucher

Autre erreur des films qui tendent à nous montrer que l’accouchement d’une femme s’annonce systématiquement par la perte de leurs eaux. Que ce soit dans Friends (qui a quand même un peu honte des fluides et évite de nous montrer quoique ce soit de bizarre qui s’écoulerait entre les jambes de Rachel), Sex and the City, ou plus récemment dans The Quiet Place… En réalité, seulement 15 % des femmes font l’expérience de la perte des eaux avant de rentrer en période de travail. Et si le cas échéant ça se produit, ce n’est pas une flaque de flotte mais plus un filet de liquide amniotique.

3. Non, les contractions à l'accouchement ne durent pas juste quelques minutes

Globalement les scènes d’accouchement au ciné nous entretiennent collectivement dans un mensonge et rares sont les films qui nous montreront du caca, des péridurales, des bébés plein de sang sur la tronche et des mères au teint jaune semi-évanouies dans une mini piaule d’hôpital. Alors question mytho, on n’en est pas à une connerie près mais c’est vrai que sur l’histoire des contractions, on est sur l’autoroute du n’importe quoi. Alors breaking news, les contractions ça dure généralement plusieurs heures.

4. Non, la pilule du lendemain n'est pas une méthode d'avortement

C’est une erreur qu’on a pu croiser à plusieurs reprises notamment dans The Walking Dead quand Lori-pire-personnage-ever-de-lhistoire-des-séries trouve rien de mieux déjà que de tomber enceinte de ce tocard de Rick dans un monde post-acopalyptique peuplé de zombies, mais en plus, contre l’avis de son keum (qui trouve rien de mieux que de forcer sa meuf à garder l’enfant parce que quand même la vie c’est plus fort que tout), elle tente de se faire avorter en ingurgitant un paquet de pilules du lendemain volées en pharmacie. Alors OK je veux bien qu’on soit dans une fiction, que les personnages soient un peu chamboulés, mais sont-ils stupides au point de penser que ça puisse marcher ?

5. Non, les femmes ne saignent pas après avoir perdu leur virginité

OK ça peut arriver mais c’est surtout une légende entretenue par le cinéma. C’est important de le préciser d’autant plus que quand deux jeunes gens font du sesque pour la première fois, on s’attendra bêtement à ce que la fille saigne et si ce n’est pas le cas, bouh la vilaine ça voudra dire qu’elle a menti. EN fait on croit que le déchirement de l’hymen cause forcément un saignement mais si l’hymen n’est pas situé sur un vaisseau sanguin, ça n’arrivera pas.

Source photo : Giphy

6. Non, les femmes ne sont pas toutes infirmières ou instits

Au cinéma c’est simple les femmes ont pas beaucoup de choix de carrière. Soit instit, soit infirmière. Et puis si elles ont un peu de pouvoir à la rigueur elles peuvent bosser dans l’édition, la mode ou être journaliste. Il y a peu de chance qu’on croise dune entraîneuse de foot, une mécanicienne ou une informaticienne. Alors je veux bien que dans la vie ce soit des secteurs moins fréquentés par les femmes mais est-ce que ça changerait pas un peu les choses justement de montrer les femmes dans d’autres métiers que ceux dans lesquels on est déjà habitués à les voir ?

7. Non, les femmes ne sont pas de petites choses fragiles nécessitant la protection d'un homme fort

Ça fait partie des clichés sexistes que nous donne à voir le cinéma hollywoodien. Des filles qui se blottissent contre les hommes, bien plus à même de pouffer ou de crier que leurs homologues masculins. Alors non, là encore le cinéma nous sert des bonnes grosses tartines de conneries, les femmes ne sont pas plus câlines, plus douces, plus pleurnicheuses que les hommes.

8. Non, les femmes ne se battent pas mieux dans une tenue ultra moulante avec un décolleté pas farouche

Scarlett Johansson a pourtant l’air de bien se débrouiller entre sa tenue de Veuve Noire, celle de Ghost in the Shell, ou de Lucy. Mais bon en fait soyons honnêtes deux minutes, c’est absolument pas pratique de casser des culs avec une combi en latex.

Source photo : Giphy

9. Non, les femmes ne sont pas toujours bien épilées, bien coiffées, bien fringuées

Mais le truc vraiment important à rappeler c’est que même si des femmes ne font pas tout ça, ça n’en fait pas non plus des Bridget Jones en puissance. En fait c’est possible de se respecter sans passer huit ans devant sa glace et d’avoir des poils au cul tout en se maquillant ou l’inverse. Bref, les femmes sont pas soit des androïdes, soit grosse déglingos qui se prennent jamais soin d’elles.

Source photo : Giphy

10. Non, le shopping n'est pas une raison de vivre

Et à ce sujet Sex and the city a fait beaucoup de mal à la gent féminine.

Source photo : Giphy

Source : Cracked


Top 15 des trucs qui étaient considérés comme normaux autrefois, mais qui sont très très chelous

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Plongé dans notre univers dont les normes semblent stables, il ne nous paraît pas concevable que d’autres humains autrefois aient pu considérer certaines pratiques que nous réprimons comme tout à fait naturelles. Nous avons tort ; il y’a 35 ans, on guillotinait encore des gens et on fumait dans les avions. Et ouais, les mecs, et toc.

1. Les mariages arrangés

Sa famille a du fric et nous un titre de noblesse mais plus un rond. Bien sûr que si tu vas épouser Hortensia de Mocherie. Que tu le veuilles ou non.

2. La royauté de droit divin

Personne ne remettait trop en cause le fait que le mec était nommé direct par Dieu. Pourtant, ça pose un peu question quand même, un mec nommé par un grand chef que personne n’a jamais vu.

Source photo : Giphy

3. Les exécutions publiques

Et vas-y que c’était un rite de passage que d’emmener ses gosses voir des gens se faire trancher la tête ou immoler par le feu. Je crois qu’aujourd’hui, les parents se prendraient au minimum des drôles de regard.

4. Nommer ses enfants comme leurs grands-parents

Et que ça nous fait des générations de Claude donnant naissance à des générations de François, donnant eux-mêmes naissance à des générations de… C’est de la consanguinité onomastique, les mecs.

Source photo : Giphy

5. La picole non stop

Jusqu’au XIX°, on buvait en moyenne 3 litres de vin par jour. Donc bon. Les comportement à risque, tout ça, tout ça, c’est vrai qu’on vit plus vieux, mais bon.

6. Les gros étaient les mieux vus

Les gros étaient riches. Les grosses étaient riches. Les personnes en surpoids étaient donc considérées comme belles. Va expliquer ça aux gens aujourd’hui, que c’est cool d’avoir du bide.

Source photo : Giphy

7. Le travail des enfants

Jusqu’aux années 20, on ne voyait pas trop le problème à envoyer un gosse de 8 ans à la mine. Après tout, c’est le minimum pour gagner un écu de l’heure.

8. Porter des chapeaux tout le temps

A quel moment les gens ont-ils considéré qu’il fallait arrêter de porter des chapeaux d’un coup, après avoir passé toute une vie à en porter ? A quel moment a-t-on commencé à considérer les gens qui portaient des chapeaux comme des tocards ou des fans de Craig David ?

Source photo : Giphy

9. Ne jamais avoir voyagé en dehors des 50 km qui entourent son village

Dans Les années, Annie Ernaux décrit bien comment la plupart des gens nés dans les petites villes n’étaient jamais allé plus loin que le bourg le plus proche avant la libération. Paris, c’était le bout du monde. On ne connaissait rien du monde.

10. Les filles de 14 ans enceintes

Aujourd’hui, une fille de 14 ans est considérée comme une enfant ; jusqu’au XVIII°, il n’était pas rare qu’elle ait sa première fille à cet âge là. Oui c’est flippant.

Source photo : Giphy

11. Porter des corsets horribles

Une nana qui s’auto-empêcherait de respirer en se coinçant dans un affreux corset passerait aujourd’hui au choix pour une imitatrice d’Arielle Dombasle ou pour une fan de Marilyn Manson. Au XVII°, elle passait dans la rue et on lui disait bonjour madame.

12. L'aristocratie

Même si, aujourd’hui, l’aristocratie de naissance a laissé la place à une forme d’aristocratie économique, l’idée que l’on puisse transmettre un titre de noblesse qui ouvre des portes un peu partout est simplement dénuée de sens.

Source photo : Giphy

13. Fumer dans l'avion

Ce n’est que dans les années 90 que les derniers vols fumeurs ont disparu. Avant, un Paris-Sydney devait ressembler à une très très longue virée dans la brume odorante.

14. Chier n'importe où

Avant le tout à l’égout, il fallait bien chier tous les jours. Jusque tard, on faisait ça dans les coins, derrière l’escalier, quoi, ou dans la rue, en baissant son froc. Aujourd’hui, c’est inconcevable.

Source photo : Giphy

15. Brûler des sorcières

Sorcière ! Sorcière ! MEURS ! MEURS !

Les temps changent.

Source : Reddit

Top 10 des vraies bonnes surprises du quotidien, celles qui font vraiment plaisir

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Notre vie de tous les jours nous réserve son lot de surprises improbables. Des plus ou moins grosses surprises certes, mais des surprises quand même. Ce genre de victoires du quotidien qui rendent la vie plus belle et douce. Merci la vie. Et pour encore plus de surprises fracassantes, Conforama lance les jours ConfoChoc !

1. Quand tu retrouves 20 balles dans la poche d’un vieux pantalon

Et tout d’un coup tu te sens richissime, prêt à faire un plan épargne, voyager vers une destination lointaine, acheter un appartement, refaire ta garde robe. Ton engouement risque de tourner court mais c’est pas grave, tu auras eu le temps de connaître le bonheur.

Source photo : Giphy

2. Quand l’ascenseur est déjà à ton étage et que tu n’as pas besoin de l’appeler

Un peu comme si tu avais un ange gardien capable de prédire tous tes mouvements quelques minutes à l’avance et qui du coup aurait pensé à aller sur le pallier avant toi pour appeler l’ascenseur et te donner l’impression d’avoir des pouvoirs télékinésiques.

3. Quand tu te réveilles en pensant aller bosser et qu’en fait on est dimanche

Bon c’est vrai que c’est un peu bébête parce que du coup tu t’es réveillé.e à 8h du mat’ un dimanche et ça fait un peu mal à ton petit cœur mais vois le bon côté des choses : tu vas pouvoir profiter pleinement de cette magnifique et longue journée.

4. Quand tu découvres qu'il reste une part de pizza dans le frigo

Et que ton petit-déjeuner s’annonce plutôt copieux et pas farouche.

5. Quand tu ouvres ta boîte aux lettres et que tu y trouves une carte postale

Parce que d’habitude on part plutôt sur des prospectus de plombier, des courriers de la banque ou juste rien. Alors quand une personne de ton entourage (même une tante éloignée, même un cousin que tu détestes) pense à t’écrire une carte tu es juste refait.e sur le plan moral.

6. Quand tu écoutes la radio et qu'il y a ta chanson préférée qui passe

Et que tu as tout d’un coup l’impression d’être le directeur musical de la station avec une influence considérable sur les ondes.

Source photo : Giphy

7. Quand tu as une gueule de bois de l'enfer et que tu avais un truc de prévu le soir même avec tes beaux-parents et qu'ils annulent

Apparemment ils sont tous les deux à l’hosto à cause d’un accident de voiture, mais YAY CE SOIR TU ES LIIIIIBRE TU VAS POUVOIR DORMIIIIIIIIR. Bonheur & joie & force & honneur.

8. Quand tu allumes la télé et que ton film est tout juste en train de commencer

C’est un peu débile parce que ce film tu l’as déjà en DVD, tu l’as même en VHS et donc si tu voulais vraiment le voir il te suffirait de mettre le DVD. Mais pourtant, quand tu tombes dessus à la télé et au bon timing, tu as tout d’un coup beaucoup plus envie de le voir.

9. Quand tu arrives à ouvrir le pot de cornichon du premier coup

Et que tu imposes le respect auprès de tes congénères.

10. Quand tu commandes une friandise au distributeur et qu'il y en a deux qui tombent au lieu d'une

Dans ces moments-là, tu as vraiment l’impression d’avoir une emprise sur la société et de te venger un peu de tout ce qu’elle t’a fait subir pauvre et misérable victime.

Source photo : Giphy

Champions du monde au quotidien.

Top 10 des maladies infantiles les plus courantes (on ne panique pas)

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Quand on est parent, on a tout le temps peur pour son enfant. C’est comme ça, ça se contrôle pas, on y peut rien. Alors quand notre bébé tombe malade, c’est la panique total. Quel parent n’a pas googlisé les symptômes de son enfant à 3h00 du mat, en stresse ? Et c’est pas pour en rajouter une couche, mais ça ne risque pas de se calmer avec le temps. Vous avez signé à vie pour l’inquiétude perpétuelle. Mais bon, on ne fait pas des enfants pour être tranquilles.

1. La varicelle

Maladie légère mais incommodante, elle donne des petits boutons absolument partout, et des cicatrices si ton enfant se gratte, ainsi qu’un peu de fièvre. C’est pas franchement une partie de plaisir pour ton môme et pour toi. Passés les un mois de vie de l’enfant, y’a pas de gros risques à la contracter. Et en plus, on ne peut la chopper qu’une fois.

2. La roséole

Elle donne des grosses poussées de fièvre, puis des petites taches roses sur le visage et le corps, chez les enfants de 6 mois à 2 ans. Il n’y a pas grand chose à faire pour l’éviter à part se laver les mains, et attendre que ça passe.

3. Pieds-mains-bouche

Ce n’est pas une maladie grave, mais elle est chiante. Elle provoque entre autres de la fièvre, une perte d’appétit et des petites taches rouges surmontées de cloques sur les mains, les pieds, les fesses, et parfois même à l’intérieur de la bouche. Les adultes peuvent aussi l’attraper, il faut donc bien se laver les mains et éviter de se faire baver directement dans la bouche par son enfant.

4. La bronchiolite

Ça peut paraitre flippant et impressionnant comme maladie, mais c’est généralement une affection bénigne. Ça provoque une forte toux avec une respiration sifflante, et de la fièvre. Il est important de consulter un médecin, car lui seul pourra donner la marche à suivre et évaluer l’état de la maladie.

5. Les oreillons

Douloureuse et contagieuse, cette maladie touche les glandes salivaires. Fièvre, maux de tête, joues qui enflent, bref c’est pas la joie. Mais la solution existe: la vaccination.

6. La rougeole

La rougeole est une grave infection respiratoire, très contagieuse et douloureuse. Elle donne des plaques rouges un peu partout sur le corps et le visage, et rend les yeux très sensibles à la lumière. Encore une fois, on est chanceux: un vaccin existe.

7. La rubéole

Très dangereuse pour le foetus si on la chope enceinte, la rubéole donne aussi chez l’enfant des éruptions cutanées rosées, de la fièvre et des ganglions. Maladie contagieuse, il n’existe pas de traitement. La seule prévention possible est la vaccination.

8. La gastro-entérite

Maladie bégnine, que tout le monde connait, mais qui peut s’avérer très dangereuse chez les enfants de moins de 3 mois, et qui reste très impressionnante. C’est une maladie contagieuse qui, je ne vous apprends rien, donne des vomissements, de la diarrhée, de la fièvre, des crampes d’estomac, bref la totale quoi. Pensez à bien hydrater votre enfant le plus possible.

9. Les otites

Les otites, c’est douloureux, vraiment. C’est une infection du conduit auditif qui peut empêcher de dormir, rend irritable, et qui peut être de multiples forme (bactérienne, virale…) Le plus sage est de consulter rapidement un médecin, qui pourra donner un traitement adapté et soulager la douleur.

10. Les bronchites

L’enfant crache ses poumons en permanence, peut faire de la fièvre, et la maladie ne disparait qu’en 2 à 3 semaines. Il faut bien surveiller l’évolution de la maladie et consulter rapidement, pour éviter une surinfection des bronches et une évolution en bronchiolite.

Liste non exhaustive, bien évidemment. Dans tous les cas, l’auto-médicamentation n’est pas recommandée, et consulter un médecin est impératif.

Top 10 des mauvaises habitudes de touristes à oublier pour se rabibocher avec les habitants

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Le tourism(e) bashing a le vent en poupe. La faute aux comportements de certains énergumènes et à des effets de modes qui font passer les touristes pour des hordes d’envahisseurs. Heureusement, si on s’y prend bien, il est encore largement temps de se rabibocher avec les locaux !

1. Faire le con sur les photos dans les endroits touristiques

Mettez-vous à la place des habitants, voire tout le temps des touristes faire les cons pour immortaliser leur présence dans un lieu chargé d’histoire, il y a de quoi l’avoir mauvaise. Ce serait comme si on vous imposait de mater le même sketch de Kev Adams en boucle… et devoir supporter la même vanne pourrie dite par des personnes différentes ! Avouez que vous ne seriez pas longtemps serein…

Take that, tower! #italy #leaningtowerofpisa #imabouttofall #touristshame

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2. Se réfugier au fast food du coin plutôt que tenter de manger local

Les gens ont beau gueuler après les dégâts causés par la mondialisation, ce sont souvent les premiers à se ruer dans les McDo et autre Subway dès qu’ils se trouvent en vacances à l’étranger. C’est vrai que c’est rassurant de se vautrer dans ses petites habitudes, mais c’est aussi un bon moyen de passer pour un bon gros touriste aux yeux des locaux. Alors que si vous osiez, vous pourriez faire fonctionner les petits commerces et les restaurants typiques.

Petit arret s'impose au #mcdobali ??

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3. S’énerver parce que personne dans ce foutu pays ne parle anglais

Au lieu de penser que tout le monde aujourd’hui se doit de parler au minimum anglais, prenez le temps de noter quelques bouts de phrases dans la langue du pays que vous visitez. Personne ne vous reprochera de massacrer leur accent, au pire, cela fera sourire, et c’est sans doute le meilleur moyen de se faire accepter.

Just in case #dontspeakenglish #noentiendo #language

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4. S’habiller comme si vous étiez chez vous

Ce n’est pas parce qu’on paye pour se rendre quelque part, qu’on a le droit de faire ce que l’on veut. Les vacances n’excusent pas tout… notamment les tenues inappropriées parfois très très courtes et qui ont le don de faire passer leurs propriétaires pour de gros bourrins en vadrouille.

5. Suivre à la lettre les recommandations indiquées sur les guides touristiques

Ces bouquins sont souvent très utiles pour organiser ses virées dans une ville ou un pays qu’on ne connaît pas. A condition de ne pas suivre leurs conseils à la lettre, histoire de ne pas faire comme tous ceux qui ont le même guide que vous entre les mains. Ces derniers sont tout sauf exhaustifs. Il y a plein de petites merveilles à découvrir par soi-même, ou simplement en discutant avec les habitants que vous croiserez pendant votre séjour.

6. Prendre des photos des locaux sans leur demander la permission

Imaginez si un touriste vous prenait en photo au hasard d’une rue près de chez vous. Vous vous demanderiez immédiatement ce qui vous rend tellement (a)typique qu’il faille à tout prix que quelqu’un souhaite immortaliser l’instant où il a croisé votre route. Alors un conseil, lorsque vous voulez prendre un inconnu en photo, commencez par lui demander l’autorisation. Ca fait de plus belle photo et ça permet par la même occasion de faire parfois de belles rencontres.

7. Partir comme tout le monde en pleine saison

Les touristes sont comme les épidémies de gastro, ils rappliquent par vague mais uniquement à certaines périodes de l’année. Résultat : c’est chiant pour tout le monde. Pour le touriste qui déteste se sentir dans la peau d’un touriste… et pour les habitants qui n’y voient qu’une immense cohue ingérable. La solution : essayer de partir à des dates moins prisées quitte à ce qu’il y fasse un peu moins beau, ou que les lieux soient un peu moins animés. Ces derniers n’en seront certainement que plus typiques car débarrassés de tous les artifices liés à la période touristique.

8. Vouloir à tout prix laisser une trace de son passage

Graver son prénom sur la pierre d’un édifice, d’un banc public voire même d’un arbre, c’est comme laisser une virgule au fond des WC après y avoir trôné : ça ne se fait pas ! En plus, tout le monde s’en fout que vous soyez passé dans le coin, vous n’êtes pas Neymar, ni Beyoncé (enfin, a priori…)

9. Faire comme tout le monde et aller aux mêmes endroits touristiques

Ce n’est pas parce que tout le monde va à Florence, Paris, ou Barcelone, que vous devez forcément faire la même chose ! En cherchant bien, il existe plein de destinations Canada Dry, qui ressemblent aux plus grands spots touristiques, mais qui possèdent en même temps leurs propres charmes.

10. Tout organiser avant de partir

Le meilleur moyen de découvrir une destination reste de se laisser porter par le hasard. A part votre billet de train ou d’avion (et encore), se laisser bercer par les imprévus est une manière efficace, non seulement de ne pas être déçu (puisqu’on n’avait rien prévu), mais surtout de s’imprégner d’un lieu, et du quotidien de ses habitants. Chiche ?

[TOPITRUC] Une pokéball pot de fleur mural

Top 9 des gens célèbres qui détestent leur métier, c’est con quand même…

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Parfois quand tu réussis à choper un boulot (et pas un bouleau mdr), tu te dis que c’est cool et enfin tu réalises un rêve. Mais parfois ce job ne te plaît pas. Eh bien c’est pareil pour les célébrités, certaines haïssent le métier pour lequel elles sont connues.

1. Serena Williams

Oui, la plus grande joueuse de tennis de tous les temps n’aime pas son sport. « Je ne suis pas amoureuse du tennis, mais je suis là. Je n’ai jamais aimé le sport et je n’ai jamais compris comment j’ai pu devenir une athlète. J’ai horreur de tout ce qui a un rapport avec l’effort physique. » En vrai elle préfère faire du shopping et ne rien faire.

Source photo : Giphy

2. Andre Agassi

Après ses 8 tournois du Grand Chelem et sa place de n°1 mondial, Andre a écrit dans son autobiographie : « J’ai détesté le tennis avec une passion sombre et secrète. Personne ne m’a jamais demandé si je voulais jouer au tennis et encore moins si je voulais en faire ma vie ». En vérité, c’était le vœu de son père.

Source photo : Giphy

3. Ashlynn Brooke

Si tu es un petit galopin des films de boule, alors que tu sais qui elle est. Et en effet, à un certain moment, Ashlynn a avoué qu’elle aurait explosé si elle aurait dû encore faire semblant de kiffer d’avoir les mains d’un inconnu sur elle. On trouve aussi d’autres actrices pornos qui n’aime pas leur job, comme Jenna Jameson ou Brittni, mais Ashlynn reste la plus populaire de notre génération.

4. Laure Manaudou

La meilleure nageuse française n’a jamais aimé nager en compétition : « Ce que j’aimais, c’était gagner. Pas nager. Je suis arrivée à la natation par hasard, presque par accident, à un âge où on ne décide pas grand-chose. C’était vraiment un calvaire. »

Source photo : Giphy

5. Florent Manaudou

Allez, le petit frère qui copie la grande soeur, de toute façon c’est toujours comme ça dans les fratries, le petit copie la grande. Et depuis, Floflo s’est mis au handball, un sport qui a l’air de davantage lui plaire.

6. Sidney Govou

C’est pas qu’il n’aime pas le foot, c’est juste que pour lui ça reste un métier. Sinon il ne regarde jamais le football à la télévision. Fun fact : il n’a même pas vu la finale de la coupe du monde 1998. Certains diront que c’est blasphème, d’autres iront s’acheter des Knackis.

Source photo : Giphy

7. Jake Lloyd

En fait, Jake avait envie de jouer devant la caméra. Sauf qu’après son rôle de Anakin Skywalker dans La Menace Fantôme, le petit gars s’est tellement fait lynché par la critique et les fans que cela l’a dégoûté du métier. Pas cool.

Source photo : Giphy

8. George Washington

Après l’indépendance des États-Unis, George Washington s’est dit que enfin il pourrait se la couler douce dans sa ferme. Sauf qu’avant même qu’il puisse y penser, des rumeurs indiquaient déjà George comme le futur 1er Président des USA. Forcément, Washington ne pouvait tourner le dos à son pays, mais en soi il n’a jamais voulu devenir Président.

Source photo : Giphy

9. Bernard Tomic

Il a dit : « Ne jouez pas au tennis! Faites quelque chose que vous aimez et appréciez, parce que c’est une corvée, une vie dure, dure, dure. Je suis coincé. Je dois le faire. C’est le tennis qui m’a choisi. C’est quelque chose dont je ne suis jamais tombé amoureux. » Perso ça me rend triste pour Bernard.

 

Sources : L’Équipe, The Richest, Le Figaro, The Richest,

Top 10 des raisons d’aller visiter la Corée du Nord, allons faire un coucou à Kim Jong-un

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Les séjours en Corée du Nord n’ont pas franchement la cote en ce moment. Il paraîtrait que les autorités sont un poil soupe-au-lait avec les touristes. C’est dommage parce que le pays est loin de se résumer à ses essais de missiles et à la coupe paillasson de son leader.

1. Parce que vous aurez parfois l’impression d’être un extraterrestre

Quand on voyage et que les gens, autour de vous, vous observent comme si vous débarquiez d’une autre planète, c’est généralement le signe que vous avez réussi à sortir des sentiers (ra)battus tracés par le tourisme de masse. Bien joué ! C’est le cas en Corée du Nord, où les habitants n’ont souvent aucune idée de ce à quoi ressemble un étranger. Pas de « J’irai dormir chez vous », ni de « En Terre Inconnue » le soir à la TV, ils risquent donc d’être un peu surpris en vous voyant débarquer. Ne soyez donc pas étonné si vous avez l’impression de passer pour une créature bizarroïde pendant votre séjour.

Source photo : Giphy

2. Parce que c’est un des derniers régimes totalitaires

Si vous racontez autour de vous que vous partez visiter la Corée du Nord, certains vont forcément vous traiter de cynique sans cœur, un brin voyeur pour oser aller parader dans un pays soumis à une dictature. Les mêmes qui projettent de partir l’été prochain faire un trek au Tibet, ou de se faire dorer la pilule aux Philippines ou en République Dominicaine, oubliant l’espace d’un séjour, la pauvreté ambiante. À chacun ses petites hypocrisies. Visiter la Corée du Nord, ce n’est pas faire du tourisme ; c’est se placer comme témoin d’un monde régi par des codes différents, sans voyeurisme mais avec curiosité. C’est aussi une façon d’offrir la possibilité à la population de sortir de son isolement, comme les Espagnols sous la dictature de Franco, qui vécurent l’ouverture au tourisme comme une (petite) fenêtre sur le monde.

Source photo : Giphy

3. Parce que certains coins sont quand même magnifiques

Et c’est l’UNESCO qui le dit. Prenez par exemple la montagne Paektu, il s’agit du sommet le plus élevé de Corée du Nord (2744m) et un mont sacré pour les Coréens. Ce volcan, toujours en activité, marque la frontière avec la Chine et est bordé par une réserve naturelle de plus 1300 km². Peu peuplée, la zone se visite accompagné d’un guide (des fois que vous ayez l’idée d’espionner les marmottes), avec en point d’orgue le levé du soleil visible depuis le sommet où se trouve également le plus haut lac de cratère du monde (lac Chonji). Ce lac aurait selon les autorités, vu naître le légendaire Tangun, père de la Corée. Info non confirmée par le Guide du Routard, donc méfiance.

Crédits photo (creative commons) : Bdpmax

4. Parce qu’il y a même un parc d’attractions

Qui a dit que les Nord Coréens ne savaient pas s’amuser ? Il suffit de faire un saut au Parc de loisirs Mangyongdae Funfair à 12 kilomètres de Pyongyang pour se convaincre que c’est un peu vrai quand même. Sur 70 hectares, les rares visiteurs peuvent risquer leur vie dans des montagnes (forcément) russes, faire du manège (dés)enchanté, ou tirer un coup à la carabine. Si ça ne vaut pas le Parc Astérix, la visite vous laissera sur le cul tellement le coin ressemble au décor d’un mauvais film d’horreur.

Crédits photo (creative commons) : (stephan)

5. Parce qu’on peut y faire du ski

Et que le forfait 1 semaine vous coûtera moins cher qu’un pass demi-journée à Avoriaz. En plus, la station n’est pas ridicule. Située sur le mont Masik, elle culmine 1523 m d’altitude et offre quand même 110 kilomètres de pistes, ainsi que plusieurs téléphériques (vous pensiez quand même pas que les autorités allaient vous laisser remonter à pied?). Par contre, niveau logement c’est plutôt moyen, puisqu’il n’y aurait qu’un seul hôtel dans toute la station. Pensez à réserver, c’est plus sûr.

Crédits photo (creative commons) : Uri Tours

6. Parce que dans 10 ans, la Corée du Nord ressemblera à la Costa del Sol

C’est en tout cas le souhait des autorités nord-coréennes, créer une station balnéaire dans la ville portuaire de Wonsan, sur le modèle des villes espagnoles de la Costa del Sol et de la Costa Blanca. Il paraît qu’ils envisageraient même d’ouvrir un camping ! Hâte d’y être.

Source photo : Giphy

7. Parce que les Nord Coréens sont "fiers" de leur pays

Si le patriotisme en France est bizarrement un truc un peu louche, en Corée du Nord il est obligatoire (rapport au fait ta tête peut tomber si t’es pas content). Bien pratique pour obliger tout le monde à se réjouir au moindre projet achevé. Un métro est ouvert à Pyongyang, hop on ouvre un musée qui raconte l’histoire de sa construction. Mais là où les Nord-Coréens font très forts, c’est qu’ils ont également imaginé un musée de la construction du musée de la construction du métro.

Source photo : Giphy

8. Parce qu’ils sont balaises en choré (sans mauvais jeu de mot)

Chaque année, d’août à septembre a lieu le Festival d’Arirang. Une manifestation culturelle qui célèbre la fête nationale au travers de gigantesques chorégraphies, censées raconter l’histoire de la Corée du Nord au 20ème siècle. Jusqu’à 100 000 artistes et figurants participent à ces immenses représentations hautes en couleurs. Et c’est forcément un événement à voir en vrai (même si, on vous l’accorde, ça peut être un peu flippant).

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9. Parce que vous pouvez même faire une croisière

Cette nouvelle attraction est ouverte aux touristes et permet de faire un tour sur le fleuve Tumen à partir du vieux port de Rajin au Nord-Est du pays. La croisière dure une vingtaine d’heures si tout va bien. On dit ça, car le navire, le Man Gyong Bong, n’a rien d’un paquebot de luxe et ressemble davantage à un vieux ferry rafistolé pour l’occasion.

10. Parce que demain, il sera (peut-être) trop tard

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Il te reste des jours pour partir en septembre ? Il paraît qu’il y a des promos sympas en ce moment.

Source : srune.com


Top 11 des règles de français qu’il falloir supprimer (les Belges ont raison)

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Nos deux amis Arnaud Hoedt et Jérôme Piron (dont on vous avait déjà parlé grâce à cet ouvrage génial et dans ce top qui niquait sa mère à l’orthographe) sont revenus depuis peu sur le devant de la scène en expliquant pourquoi il serait plutôt pas mal d’instaurer une « invariabilité du participe passé avec l’auxiliaire avoir » histoire qu’on arrête de s’emmêler les pinceaux. Evidemment, les francophiles monomaniaques se sont insurgés. Alors nous on saute sur l’occase pour proposer aussi deux trois autres modifs dans les règles de français qui nous gavent un peu.

1. La double consone on en a mare ça comence a bien faire

La double consonne en vérité n’a pas de véritable raison d’être. Dans l’histoire certains mots avaient une double consonne, d’autres non. Et puis ça a été fixé un peu par hasard. Alors que Corneille écrivait « sifler » ou « aranger », et Lafontaine qui écrivait « diférent », « tranquile » et qu’on vivait clairement plus heureux, on s’est dit que ça manquait un peu de lettres ces mots et on en rajouté de manière assez arbitraire. FDP de moines copistes.

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2. Ça serait été mieux si l'accord du participe passé ça serait fini

C’est l’objet de tous nos soucis. Le fameux accord du participe passé que le Bescherelle lui-même définit comme une des règles les plus artificielles de la langue française. En effet, le participe passé est invariable quand le COD est placé après le verbe comme dans la phrase « ils ont niqué leurs mères ». Sauf que si le COD est avant le verbe, là ça fout la merde comme dans la phrase « les mères qu’ils ont niquées ». Chiant. Relou. Limite snob. On approuve totalement la proposition de Arnaud Hoedt et Jérôme Piron qui consiste à rendre toujours invariable ce putain de participe passé.

3. Arreté avec lé lètre muette

Dans quasiment toutes les langues du monde mondial, on prononce toutes les lettres des mots. Par exemple en espagnol on dit « telefono » pour « téléphone », en turc on dit « mayonez » ou « ekler ». Il n’y a qu’avec le français qu’on se la joue originaux et qu’on se met des lettres muettes à tous les mots.

4. Ce qui est de l'ordre des "th" et des "ph" et qui sort tout droit du cerveau de sociopates de l'ortografe

Là encore ces exceptions orthographiques n’ont aucune raison d’être. C’est la foutue édition du dictionnaire de 1835 qui nous a mis dedans en réintroduisant les consonnes doubles, et ces putains de « ph » et « th ». Mais à part un trip chelou d’académicien sous mental, il n’y a rien qui historiquement nous pousse à accepter ces non-règles.

5. L’officialisation du futur du verbe "voir" : "voirai"

OK c’est pas joli ça fait tiquer un peu l’oreille mais globalement pour les futurs des verbes, on voudrait (enfin… « on vouloirait ») que ce soit uniquement la règle du premier groupe qui s’applique. Donc on prend la base du verbe et on rajoute les suffixes du futur. Je voirai, tu voiras, il voira… Je pouvoirai, tu pouvoiras, il pouvoira…

Et évidement supprimer toutes les expectations de conjugaisons cheloues du genre « vous dîtes » au lieu de « vous disez ». C’est fini ces conneries.

6. NTM les verbes de chiens qu'on peut utiliser qu'à la troisième personne du singulier, moi aussi je veux pleuvoir

On pense en particulier à « il faut ». C’est chiant ça ! Pourquoi on pourrait pas dire « Je faux » quand je dois exprimer qu’il faut que je fasse quelque chose. Est-ce que ce serait pas plus simple de dire directement « Je faux faire mes papiers » plutôt que « il faut que je fasse mes papiers » ? Soyons honnêtes deux minutes.

Source photo : Giphy

7. Que tous les pluriels soient pareils

Ras le cul des mots qui prennent des « x » plutôt de des « s » au pluriels, ras le cul des mots qui changent carrément au pluriel. Je veux monter sur des chevals, je veux les regarder avec mes oeils.

8. Pouvoir enfin dire "la chatte à Deschamps" et non pas "la chatte de Deschamps"

OK, on nous balance toujours en guise d’exemple « hey connard, on dit pas une crotte à nez ! », ouais super. Mais on dit bien « ce vélo est à Louise », alors pourquoi on irait pas plus vite en disant « le vélo à Louise » ? D’ailleurs je cherche un vélo pas cher, merci de partager vos bons plans en commentaire.

9. Qu'on interdit l'emploi du subjonctif

Parce que ce mode est vraiment un grand incompris de la langue française. En gros, après « il faut », on doit mettre un subjonctif. Mais ça casse les couilles. Je vois pas pourquoi il faudrait qu’on le fait. Alors qu’il suffit qu’on dit les bons mots pour qu’on est compris.

10. Supprimer le conditionnel parce qu'entre nous c'est juste un futur qui s'assume pas

Les verbes au conditionnel s’écrivent quasiment pareil qu’au futur, c’est juste une petite arnaque pour être sûr de bien te voir te planter sur l’orthographe. Exemple : au futur, on écrit « Je mangerai une bonne compote de foutre » tandis qu’au conditionnel on écrit « Je mangerais une bonne compote de foutre ». Mais putain ! Ça veut dire la même chose !

Dans le premier cas tu es sûr à 100 % de manger ta compote (SAUF si par exemple tu meurs juste avant et là on pourra dire de manière rétroactive que tu as fait une faute d’orthographe) et dans le second cas tu émets juste un souhait. Mais si tu émets un souhait, tu n’as qu’à directement la bouffer ta compote et arrêter de nous emmerder avec tes excentricités culinaires.

11. D'ailleurs la concordance des temps de manière générale, ça être chiant

Le plus simple être encore que tous les verbes être à l’infinitif. Nique sa mère la conjugaison. Nique sa mère la concordance des temps. On faire comme en vietnamien par exemple ou les verbes ne changer jamais, on rajouter juste un mot qui exprimer le passé ou le futur.

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Nique ta grammère.

Sinon, on vous recommande l’ouvrage des deux Belges à l’origine de cette infecte polémique.

Prix : à partir de 17 chez Amazon.fr

Top 10 des trucs que tu aurais aimé qu’on te dise avant ton premier emploi

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Quand tu t'apprêtes à signer ton contrat pour un premier emploi, tu es parfois enveloppé d'un drap d'angoisse et d'excitation qui donne lieu à un sentiment mitigé. C'est normal. C'est flippant de commencer un premier boulot. Nous tous on est passé par là et on aurait aussi bien aimé qu'on nous dise ces quelques trucs à l'époque. Et pour aborder tous les changements liés à un premier job sereinement, la Macif propose à la rentrée toutes les offres pour bien te préparer : Assurance Habitation, Assurance Auto, complémentaire Santé, des bons plans Macif... A toi la vie d'adulte !

1. Tu ne vas certainement pas faire ce boulot toute ta vie

Allez ressaisis-toi, c’est pas la peine de déprimer dès le deuxième jour en pensant à ta retraite. Aujourd’hui on ne reste plus 20 ans dans la même entreprise alors prends ce qu’il y a de bon à prendre dans celle-ci.

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2. Les collègues, c’est comme des camarades de classe

Y’en a des sympas et d’autres moins. C’est pas un drame hein. Mais rassure-toi, si ça se trouve, ce sont pas tous des abrutis, donne leur une chance de se révéler amusants et plaisants. A moins que tu ne quittes les lieux avant la fin de ta période d’essai, tu devrais avoir un peu de temps devant toi pour apprendre à faire connaissance. COPAINS.

3. Ça ne te coûte rien de te renseigner sur le droit du travail

Et ça peut toujours servir. Bon on te dit pas que tu vas te faire arnaquer hein, la plupart des employeurs ne sont pas des démons. Mais on est toujours mieux armés quand on s’y connait mieux sur ses droits.

4. Renseigne-toi toujours bien avant de signer un contrat auprès de tes potes

On ne le dit jamais assez, mais c’est une bonne source d’information et de comparaison, tu peux te renseigner sur les salaires, savoir ce à quoi prétendre etc. Ne reste pas tout seul dans ton coin à stresser sur les enjeux de ton premier taf.

5. Ça ne sert à rien de tout donner en espérant être augmenté dans les six mois

Enfin si, ça sert à te faire bien voir, mais si ton investissement est purement intéressé laisse tomber. Ce genre de trucs arrive plus souvent au cinéma que dans la vraie vie. Dans les faits, l’augmentation n’est pas aussi systématique en revanche rien ne t’empêche de remuer ciel et terre pour en obtenir une.

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6. N'oublie pas que le travail c'est juste 8 heures par jour (enfin au mieux)

Finalement tu passes vachement plus de temps à dormir dans ta vie qu’à travailler.

7. Ne prends pas forcément le premier boulot qui te tombe sous la main

Quand tu es à la recherche d’un boulot tu peux parfois te laisser tenter par certaines offres bien moisies sans trop réfléchir. Alors bien sûr c’est facile à dire… quand on cherche du taf, on n’a pas toujours le luxe d’être exigeant. Mais dans la mesure du possible essaye de choisir une entreprise qui s’accorde un tout petit peu avec tes valeurs.

8. Tu seras payé pendant que tu seras en vacances YAY

En revanche, quel que soit ton salaire, t’inquiète pas, ce sera jamais assez, tu en voudras toujours plus. On est tous dans la même position.

9. C'est pas forcément une bonne idée d'inviter tes parents à ton premier pot after-work

On ne le dit jamais assez mais cette pratique bien que très largement répandue peut s’avérer contre-productive pour ton intégration auprès de tes collègues. Sauf bien sûr si tes parents s’entendent bien avec leurs parents auquel cas tu peux espérer peut-être inviter ces collaborateurs à venir prendre le goûter chez toi pour ta boum d’anniversaire.

10. Évite de coucher avec tous tes collègues dès la première semaine

C’est pas une question de morale hein, mais c’est juste qu’après tu risques de t’attirer quelques galères.

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Top 10 des trucs qui n’ont pas l’air homophobes, mais qui le sont quand même

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L’homophobie, c’est comme le racisme : un truc tellement ancré dans notre culture que même affranchis des idées préconçues, même à gauche et même en s’en foutant royalement, nous perpétuons des clichés à la con par nos attitudes et nos paroles sans même nous en rendre compte. Il n’y a pas à proprement parler de culture homophobe, mais des remarques à la con ou des pensées automatiques. Plus retorses à combattre que l’expression sale pédé.

1. Traiter les gens d'enculés comme si c'était une insulte suprême

C’est bien connu, se faire sodomiser c’est vraiment ultra dégradant, du coup les gens qui se font sodomiser sont voués aux gémonies et brûleront éternellement en enfer. C’est bien connu. On a donc raison d’utiliser aussi souvent ce mot pour insulter les gens.

2. Représenter des homosexuels qui ne sont potes qu'avec des meufs

Dans les séries comme au cinéma, les homosexuels sont presque toujours des side-kicks sympas qui ne sont potes qu’avec des meufs. Riverdale, Dawson : la liste est longue et la tradition permanente. C’est vrai qu’un héros gay, ça ne peut pas exister, rapport au fait que pour être un héros il faut des grosses burnes.

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3. La cage aux folles

Ca me fait rire, La cage aux folles, j’adore Serrault, j’adore Tognazzi et j’adore Poiret et c’est drôle et tout ça. Mais c’est quand même le truc le plus homophobe du monde : les homos sont forcément des folles, Serrault en fait des caisses… Alors oui le film présente aussi un couple d’homosexuels stables qui ont élevé un enfant, mais c’est quand même clichéland.

4. Supposer que les homos ont forcément une sexualité dingue

Bah oui, parce que les homosexuels passent leur temps dans des backrooms à se faire des trucs chelous avec du cuir et des fouets tout en se mutilant le sexe et en jouant avec des menottes trop serrées, le tout à 10 ou 12 minimum sinon c’est pas marrant. Du coup, quand on voit des couples normaux de mecs ou de filles, on s’étonne. Etonnant, de s’étonner.

5. Poser des questions sur la sexualité d'un gay comme si c'était normal

« Mais du coup t’es passif ou actif ? Et comment vous décidez ça ? »

Vous imaginez un peu si on parlait comme ça aux hétéros quasiment sans les connaître ? « Et toi, tu préfères la levrette ou l’Amazone ? Et les filles tu y vas fort ou doucement, toi ? Et tu mets des doigts dans les fesses ? » Arrêtons enfin.

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6. Vouloir à tout prix présenter ton pote gay à ton autre pote gay

Parce que forcément, vu qu’ils sont gays, ils ont plein de trucs en commun donc ils vont se plaire et vouloir s’accoupler. Forcément. C’est pratique les gays, puisqu’ils sont complètement fous du cul, ils couchent forcément avec tout le monde donc on peut observer et se marrer.

7. Présupposer que tes potes gays connaissent forcément des meilleures soirées que toi

Bah oui, pour se marrer y’a pas mieux que les gays, c’est connu. Ils vont pas dans des bars traditionnels, eux. Ils ont des adresses folles où des gens dansent nus dans des effluves de mousse et où des carnavals brésiliens défilent au milieu des spectacles trans. Forcément.

8. Présenter quelqu'un en précisant qu'il est gay

« Je te présente Michel, mon pote gay. »

Mais imaginez un peu : « Je te présente Thomas, mon pote hétéro. » Bizarre, quand même, ce besoin d’essentialiser les gens à leur sexualité.

9. Te sentir obliger de préciser que tu n'es pas homophobe quand quelqu'un te dit qu'il est gay

« Ah t’es gay ? Mais tu sais, moi j’ai aucun problème avec ça hein ! »

Bah on s’en doute, et puis surtout on s’en fout. Imaginez un peu dire ça à un noir : « Ah t’es noir ? Mais j’ai aucun problème avec les noirs, moi, hein ! » Toute forme de malaise est malaisée.

10. S'étonner que tes potes gays ne connaissent pas par coeur Mylène Farmer et Céline Dion

Bah ils écoutent forcément ça, non ? Tu les as mises dans la playlist, les chansons, pour leur faire plaisir. Ils pourraient chanter un coup quand même.

Source photo : Giphy

Les gays ont un super radar à connerie.

Top 10 des (petits) mensonges à dire à son gamin pour le convaincre de se mettre au judo

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judo
Crédits photo (creative commons) : Stefan Schmitz

La rentrée scolaire, c'est aussi celle des associations sportives. Et pour les parents d'enfants de 5 ou 6 ans, c'est le moment de se poser la question de l'activité extrascolaire de son rejeton. Il faut alors résister à la toute puissance médiatique du foot pour encourager son enfant à découvrir une autre discipline, porteuse de valeurs au moins aussi précieuses que celles des sports collectifs. Et pour cela, il y a le judo et ses nombreuses vertus. N'hésitez donc pas à les exagérer un brin :

  1. "Tu seras invincible" Enfin, bon, en vrai tu apprendras à tomber en tapant très fort par terre avec la main à plat. Déjà, c'est pas mal.
  2. "Tu auras un costume de ninja" Peut-être pas EXACTEMENT un costume de ninja, mais un judogi, que tout le monde appellera "kimono", c'est presque pareil. T'auras toujours en tout cas toujours plus d'allure que si tu faisais du cyclisme ou du twirling-bâton.
  3. "Tu iras t’entraîner dans un temple qu'on appelle Dojo" Sous un portrait de Jigoro Kano. Bon, ok, c'est juste une grande salle qui caille l'hiver, mais "aller au dojo", c'est quand même plus sympa que d'aller "au stade municipal" ou "à la salle polyvalente".
  4. "Tu ne rentreras jamais tout crado du sport" Pas comme tes copains qui font du foot ou du rugby et qui reviennent à chaque fois tout dégueulasses en se faisant engueuler par leur mère. Bon y'en qui te diront qu'un dojo ça sent quand même méchamment la chaussette sale
  5. "Tu sauras parler couramment japonais" Du coup t'auras un peu d'avance sur tes copains qui baragouinent 2 mots d'anglais. Toi avec Hadjime, Matte et Osaekomi, tu mettras une dose à tout le monde. Ça ne suffit pas pour parler "couramment", mais personne n'ira vérifier.
  6. "Tu ne perdras plus jamais une baston à la récré En vérité, tu n'es pas censé utiliser les arts martiaux en dehors du dojo, et tu dois rester maître de toi. Mais bon, avoir dans la manche une bonne technique de clé de bras, ce n'est jamais perdu.
  7. "Du coup, tu apprendras à faire des Makankosappo et des Kamé Hamé Ha" Bon, peut-être pas, mais au moins des O-soto-gari et des Harai-Goshi, c'est pareil, tout ça, c'est des machins japonais.
  8. "Tu seras poli, courageux, sincère, respectueux, modeste et maître de toi" A priori comme ça tout ça tu t'en fous un peu, mais t'as pas le choix on a décidé avec ta mère : c'est soit judo, soit catéchisme.
  9. "Tu gagneras toujours tout comme Teddy Riner le gros monsieur qui fait de la pub pour pitch" Autant choisir un sport où on est fort et où on gagne. Sinon t'as qu'à faire du ping-pong, tu vas voir niveau médaille aux JO, c'est plus calme.
  10. "T'auras des blessures vraiment classe" Une épaule démise, un arrachement du ligament latéral interne, un problème au ligament croisé antéro externe... ça a quand même plus de gueule que la "talalgie" de Zlatan ou les oreilles décollées de rugbymen, non?
  11. "C'est un bon moyen de se faire des potes" Un bon étranglement ou un O Soto Guruma rondement mené, ça rapproche.

Top 10 des musées insolites à voir à Londres, pour changer un peu !

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Il y a environ 3159 musées à Londres. Enfin, peut-être pas autant, mais il y en a beaucoup. Et dans le lot, on en trouve des franchement originaux. Des musées fascinants, flippants, insolites… Pas franchement l’endroit où on va en priorité et c’est dommage car ils valent vraiment le détour…

1. The Viktor Wynd Museum of Curiosities, Fine Art & Natural History

Situé dans le quartier de Hackney, dans un ancien centre d’appel, ce musée compile tout un tas de trucs aussi éloignés les uns des autres que finalement complémentaires. Les collections ne font preuve d’absolument aucune logique et c’est aussi ce qui fait le charme du lieu. On peut ainsi admirer des animaux, des os d’animaux, des jouets de Happy Meals, des gravures plus ou moins anciennes, des peintures de gens un peu tarés, des coraux, des chats à deux têtes… Et en plus, vu que l’endroit abrite aussi un bar, on peut boire un coup.

2. Pollock's Toy Museum

Un musée dédié au monde du jouet, près de Covent Garden, avec en autres raretés, le plus vieil ourson du monde. Ici aussi, la variété règne en maître. On peut trouver de tout et surtout n’importe quoi. C’est tout petit, il y a des jouets partout et c’est finalement super original.

3. Freud Museum

C’est logiquement dans la maison de Freud que ce musée s’est installé. Freud qui y habita dès 1939, après avoir fui l’oppression nazie. On peut y voir le fameux canapé sur lequel ses patients confiaient leurs névroses ainsi que divers objets. Visiter le Freud Museum revient ainsi à remonter le cours de l’histoire de la psychanalyse.

4. Sherlock Holmes Museum

Un joli musée, situé au 221 Baker Street, soit à la même adresse que le Sherlock Holmes créé par Conan Doyle (même si Sherlock vivait au 221B). Tout petit lui aussi il propose une immersion totale dans le quotidien du détective et de son célèbre acolyte Watson. Ces dernières années forcément, il s’est largement focalisé sur la série de la BBC avec Benedict Cumberbatch mais sait aussi flatter les fans purs et durs qui ne jurent que par les bouquins. On peut aussi se faire photographier avec un acteur déguisé en Sherlock qui campe toute la journée devant le musée.

#sherlockholmesmuseum

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5. Leighton House Museum

Une maison conçue par le peintre Frederic Leighton qui recèle de spectaculaires artefacts. Un musée notamment remarquable pour sa salle arabe, qui abrite une superbe collection de tuiles ainsi que d’autres pièces. Pour les amateurs d’art contemporain mais aussi pour les autres.

Monday blues #leightonhousemuseum

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6. Cartoon Museum

De la bande-dessinée, de la caricature britannique, de bonnes vieilles madeleines de Proust, des dessins… Nostalgie garantie à la visite de ce musée qui retrace l’histoire de l’art caricatural certes mais aussi du dessin, animé ou pas.

7. Old Operating Theatre

Bienvenue au London Bridge, l’un des plus fameux ponts de Londres, qui offre aussi la possibilité de pénétrer dans un lieu assez incroyable, à savoir une ancienne salle d’opération. Car à l’époque, quand on opérait les gens, on en faisait profiter tout le monde. Le toubib, les infirmiers et les infirmières ainsi que leur patient étaient au milieu, tout en bas, et tout autour, dans l’amphithéâtre, les membres du public, docteurs ou pas, prenaient des notes. C’est l’un des derniers lieux de ce genre et l’un des mieux conservés. On peut d’ailleurs aussi visiter la section qui compile plusieurs herbes médicinales pour finir la journée.

8. The Black Museum

Amis du macabre bonjour ! Dans ce musée à New Scotland Yard, on peut voir des ustensiles jadis utilisés par Charlie Peace et Jack l’éventreur, soit deux personnages pas spécialement connus pour leur sympathie. Un grand nombre d’armes en tous genres y sont exposées à tel point que le lieu reçoit régulièrement des cours pour les apprentis inspecteurs.

9. HMS Belfast

Voici le seul bâtiment de guerre conservé en l’état par la Grande-Bretagne à avoir participé à la Seconde Guerre mondiale (et au Débarquement en Normandie). Aujourd’hui, il ne parcourt plus les mers mais est amarré sur la Tamise près de la station de métro London Bridge et raconte l’histoire militaire du pays.

10. Churchill War Rooms

C’est peut-être l’un des plus connus du top mais il méritait de s’y trouver. Car on parle ici de l’un des personnages les plus importants de l’histoire du pays à savoir Winston Churchill. L’un des artisans de la victoire des Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Churchill qui opérait depuis ses fameux cabinets de guerre, aujourd’hui ouverts au public. Encore mieux qu’un film avec Gary Oldman !

Ça change du Bristish Museum

[TOPITRUC] Un système pour porter ton enfant sans douleur

Topito recherche un(e) Rédacteur(ice) Web en Stage

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Topito publie beaucoup de tops, vous me direz c'est normal pour un site de top. Mais pour faire ça, nous avons besoin d'aide pour créer une équipe de serial-killer du top (et nous laisser un peu de temps pour aller promener nos chiens). Nous recherchons donc :

Un(e) Rédacteur(ice) Web [STAGE]

Votre profil nous intéresse si...

  • Vous avez un vrai talent d'écriture : les mots, c'est votre truc, vous êtes même peut-être un journaliste en devenir, mais pas forcément non plus. Vous ne faites aucune faute d'orthographe, sauf sous la torture où il vous arrive d'oublier de mettre un "s" à la place du "x" à "genoux".
  • Vous êtes un(e) vrai(e) accro du web : vous êtes un(e) lecteur/trice assidu(e) de sites médias, de blogs, vous en rédigez un vous même, et vous passez une partie de vos journées sur Twitter et Facebook.
  • Vous êtes un vrai(e) lecteur/trice de Topito : et vous mourrez surtout d'envie de mieux le connaître de l'intérieur.
  • Vous avez une convention de stage de (4 à 6 mois) : et non, pas un truc que vous avez fait vous-même.
  • Les gens disent de vous "oh dis donc ce que tu es drôle"
  • Vous parlez le sanskrit sans accent grenoblois (facultatif)

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Top 11 des signes que t’es une langue de pute (et on ne te félicite pas)

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La langue de pute, ou « homo linguaputae », est un être humain mi-commère mi-bâtard, qui se réunit en groupe afin de faire le plein de potins et de critiques. On le reconnaît à ses cris caractéristiques : « non mais vas-y raconte », « oh mais tu sais pas ? », « oh le con ». Si vous vous reconnaissez dans les points suivants, peut-être faites-vous partie de cette espèce particulière bien distincte de l’être-humain lambda.

NDLR : Ce n’est pas parce que le mot « pute » est féminin, qu’il ne concerne ici que les femmes. Non, en matière de langue de puterie, les sexes y sont tous représentés à égalité.

1. Tu juges

Tout. Tout le temps. Même ce pauvre Édouard, qui dans le fond ne t’a rien fait, mais tu sais très bien ce qu’Alice t’a dit à son sujet. De toute façon, tu ne pouvais pas le sentir. Rien que sa tête te donnait de l’urticaire.

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2. Ta passion, c'est la critique

Le moindre événement passe au crible de ta langue aiguisée. Tu n’hésiteras pas non plus à partager ton avis éclairé sur l’incompétence de tes collègues ou sur la géopolitique du partage territorial des fesses de Bernard ou Bianca comme si tu étais la Russie au conseil de sécurité de l’ONU.

3. Tu organises des réunions au sommet pour te tenir au courant des dernières nouvelles en mode G20 de Langues de Pute

Et par « nouvelles » on entend « potins ». Car tu sais que le savoir, c’est le pouvoir, alors tu te tiens informé de toutes les dernières coucheries, tromperies, coups bâtards, tout ce qui pourra te permettre d’alimenter tes discussions putassières. (Et puis en vrai, savoir qui a couché avec qui est très pratique pour repérer ta prochaine relation sexuelle et éviter les IST.)

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4. Tu ponctues tes discours putassiers de punchlines bien senties

« Son nouveau copain / sa nouvelle copine ? il/elle est comme une gastro : à chier et à vomir en même temps ». Voilà c’est gratuit, c’est méchant, c’est cadeau, à utiliser sans précaution pour tailler les gens. De rien.

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5. Tu sais tout, sur tout le monde

L’œil de Sauron, c’est toi. Big Brother, c’est toi. Sous l’URSS, nulle doute que tu aurais été un agent de la stasi. Tu es également réputé pour tes capacités d’espionnage qui te permettent de collecter même les informations les plus secrètes. Oui, c’est un don, et ton entourage a intérêt à garder sa culotte bien en place s’il ne veut pas se retrouver au centre des discussions.

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6. Tu fais attention à tout ce que tu entends

On raconte que si l’on dit trois fois dame blanche devant un miroir, elle apparaît. Toi, il suffit de dire une fois « non mais tu sais pas ce que j’ai appris » pour que tu apparaisses mystérieusement en criant : « Allez, vas-y dis-moi tout j’ai les oreilles grandes ouvertes ».

7. Quand tu n'aimes pas quelqu'un, il ne trouve jamais grâce à tes yeux

Tu pourrais même créer ta série « 13 raisons pourquoi je ne t’aime pas ». Avantage : tu n’es pas hypocrite. Tu clames ta haine haut et fort, et tu n’as pas peur que cela se sache. Désavantage : tu te fait maraver quand le quelqu’un en question apprend que tu as balancé des horreurs vérités sur sa vie en 13 épisodes sur netflix.

8. Tu peux repérer les échanges putassiers à plusieurs kilomètres de distance

Le sens de la langue de puterie est chez toi inné, au point qu’il te suffit d’un coup d’œil pour repérer un échange putassier. Quand tu vois le regard de la médisance, tu sais que c’est le moment d’intervenir (ou d’écouter discrètement). C’est ton septième sens, le sixième étant ton don d’omniscience dont nous faisions état au point 6.

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9. Tu utilises un vocabulaire bien spécifique

Alors que le mot les plus dits au monde sont « oui » et « non », les tiens sont « vas-y raconte » et « faut que je te dise ». Le correcteur automatique de ton portable a d’ailleurs la fâcheuse habitude de remplacer « ex » par « bâtard » ou « salope ».

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10. Tu es prêt à tout pour avoir un bon potin

Et tout est bon pour parvenir à tes fins, l’alcool, le pot de vin, les crêpes, un bon coup d’AK47 dans la gueule… Il y a parfois des personne résistantes, mais tu as les moyens de les faire parler. Tu t’es peut-être déjà retrouvé dans la rubrique faits divers « Il refuse de lui dire avec qui a couché avec Aurélie, il se fait poignarder ».

11. On t'a déjà traité de langue de pute

Tu as répondu : « Je sais. Mais merci, c’est gentil » et c’était le plus beau compliment qu’on pouvait te faire.

Source photo : Giphy

Voilà, tu es une langue de pute. Sinon, bravo, tu es quelqu’un de bien. Mais en fait les gens bien, c’est chiant.

Top 10 des plages dans le monde où l’eau est la plus chaude, ça change de la Bretagne

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Vous aussi en dessous d’une eau à 26 degrés, vous mettez une heure avant de réussir à vous mouiller le nombril ? Rassurez-vous, on est pareil ! Heureusement, certaines plages sont réputées pour garantir toute l’année une température de l’eau parmi les plus chaudes de la planète. Enfilez votre maillot, on va se baquer !

1. Charm el-Cheikh en Egypte

Pas besoin de se mouiller la nuque avant d’aller se baigner à Charm el-Cheikh. La plage de la station balnéaire est une des plus chaudes de la planète que ce soit dans l’eau ou en dehors. La température moyenne de la mer rouge est de 30 degrés ! Pas de quoi rassurer les plus frileux qui y vont encore à reculons. La faute au vent chaud du désert du Sinaï voisin qui fait grimper en flèche les températures de l’air, et donne logiquement l’impression que celle de la mer est plus fraîche. #jamaiscontent

? #???? #?????? #farshabeach #beach #egypt #sharm #sharmelsheikh #???????????

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3. Phuket en Thaïlande

Au plus frais, la température de l’Océan Indien sur les plages de Phuket ne descend jamais en deçà de 28 degrés en décembre et janvier. Le reste de l’année, vous pataugerez dans une eau à plus de 30 degrés. Évitez quand même de boire la tasse, la qualité de l’eau dans la baie de Patong serait régulièrement impactée par les mauvaises habitudes des grands complexes hôteliers de bord de mer qui prendraient l’océan pour une station d’épuration

5. Kuta Beach à Bali

A défaut d’être la plus exotique des plages de l’île, Kuta Beach a le mérite de proposer une température de l’eau al dente, avec une cuisson en moyenne à 29 degrés. Idéal pour bien préparer sa peau avant d’aller se faire masser un peu plus loin.

7. La plage de Kendwa dans l’archipel de Zanzibar en Tanzanie

Une barrière de corail en guise d’aquarium, une plage de sable blanc à vous cramer la rétine et accessoirement aussi la plante des pieds, une eau qui descend rarement en dessous des 27 degrés, sans parler de sa full moon party organisée chaque samedi avant ou après la pleine-lune, la plage de Kendwa a vraiment tout du petit paradis. En plus, le nom de cet archipel est vraiment trop classe ? « Tu pars où en vacances finalement ? » « Oh, je crois qu’on va se faire une petite virée au Zanzibar ! »

Masai ?? #cristoforocolombo #kendwabeach #tanzania #eden

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8. Palolem Beach à Goa en Inde

Si vous aimez les cartes postales, vous allez adorer la plage de Palolem située au sud de Goa en Inde. Du sable blanc, une mer turquoise, des palmiers pour la touche exotique, et le tout couronné par une température de l’eau juste comme vous l’aimez. Ajoutez à cela le cocktail qui va bien et vous en oublierez presque les nombreux touristes et les quelques vaches « sacrées » qui squattent les parages.

9. Punta Cana en République Dominicaine

32 km de plages ça fait une super grande baignoire où aller barboter gaiement. Ici la température de l’eau flirte avec les 26 à 30°C toute l’année, avec inclus dans le prix, plongée dans le monde de Nemo, décor de sable blanc et vue sur les cocotiers ! Un superbe séjour en perspective à condition d’aimer les bons gros spots à touristes que vous pourrez toujours zapper en privilégiant des coins moins fréquentés de l’île.

10. L’île de Kish en Iran

L’île de Kish est un confetti de liberté dans la région. Une sorte de Dubaï en version miniature avec des lois plus permissives que dans le reste du pays. De quoi attirer les touristes qui viennent profiter des malls, mais aussi des plages paradisiaques de sable blanc et eaux turquoises entre 24 et 34 degrés toute l’année. Actuellement, c’est d’ailleurs sur cette île située au large de l’Iran que l’eau est la plus chaude sur toute la planète (34 degrés contre 20 seulement à Palavas les Flots).

Source (chaude) : rd.com

Top 10 des jeux de société Harry Potter, pour s’amuser entre magiciens

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Tu aimes Harry Potter ? Tes amis aiment Harry Potter ? Ton chien aime Harry Potter ? Ta famille aime aussi Harry Potter ? Alors il te faut de quoi amuser tout le monde autour de votre passion commune : LA MAGIE. Heureusement pour toi, on t’a trouvé des jeux bien sympas pour bien t’amuser :

A vous les soirées magiques !

Top 11 des réponses aux questions qu’on se pose sur les tournages porno

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L’univers du porno suscite beaucoup de fantasmes. Déjà parce que devant un porno, on reste rarement de marbre, mais aussi parce qu’on se pose tout un tas de questions existentielles sur ce domaine qui communique assez rarement les détails techniques de ses tournages. On a tenté de répondre aux questions (nombreuses) qu’on se pose. Si vous avez déjà assisté à un tournage de porno, vos contributions sont les bienvenues.

1. Est-ce que les acteurs pornos sont intermittents comme les autres acteurs ?

En théorie, oui. Mais les conditions de tournage du porno varient d’un film à l’autre donc c’est très difficile de généraliser. On peut avoir des cachets intermittents dans certaines grosses productions comme celles de Marc Dorcel mais forcément sur une vidéo courte filmée en amateur, on peut se retrouver payé au black. Pour d’autres il semblerait que les acteurs porno soient plus souvent rémunérés comme des cascadeurs. La raison est historique, à l’avènement du cinéma porno dans les années 70, les « vrais » acteurs refusaient de partager le même statut que les acteurs pornos. On leur a donc trouvé un statut intermédiaire, celui de cascadeur qui ne dépend pas du même régime et donc des mêmes grilles de salaire…

2. Est-ce que ça arrive que quand même parfois, les actrices kiffent un tout petit peu ?

Pour entretenir le fantasme, beaucoup te diront que oui ça jouit à tout va. Mais soyons sérieux deux minutes. Le porno consiste à filmer des scènes de boules de manière « cinématographique » ce qui rend la possibilité de prendre du plaisir assez limitée. Sans compter qu’une scène dure longtemps, les actrices ne survivent pas sans des quantités de lubrifiants (et de Biafine). Et puis évidement on n’a pas de préliminaires qui pourraient susciter l’excitation, c’est pas l’objectif. Donc non, déso mais le plaisir porno est à 99.9 % simulé.

3. Ça prend combien de temps de tourner une scène de cul ?

Bien entendu ça peut varier et ça dépend de ce que contient la scène. En moyenne une scène ça correspond à six positions et ça peut durer entre quatre et six heures. Parfois jusqu’à douze heures. Il faut prendre son mal en patience.

4. Est-ce que les photos porno sont extraites de tournages porno ?

Eh bien non. Toutes les photos que tu verras d’un film porno (sur la jaquette par exemple) sont prises avant ou après le tournage de la scène elle-même. Il faut essayer de reproduire à la perfection les positions du film.

5. Est-ce que les techniciens sont excités par ce qu'ils voient ?

Les témoignages qu’on a pu trouver de techniciens du porno sont assez formels. Même si le cadre est atypique et que les premiers tournages sont assez surprenants, ils font bien vite abstraction de ce qui se passe devant leurs yeux. Finalement c’est un tournage comme un autre et les ingé son ne se paluchent pas pendant une scène de DP.

6. Comment est fait un scénario ? Comme dans les vrais films ?

Eh bien oui et non. Enfin plus non que oui. Si l’on se base sur un scénario classique hollywoodien, le scénario fera entre 90 et 120 pages alors que le scénario d’un film porno dépasse rarement les 25 pages. Logique puisque les scènes de cul sont juste indiquées et non scénarisées, elles relèvent du travail du réalisateur. Quant au contenu de l’histoire, étant donné qu’un film porno contient principalement des scènes de cul, à moins de faire un film de 8 heure, on n’a pas trop le temps de développer l’intrigue et les personnages. Sans compter que le budget du porno est réduit donc les ambitions de décors, aussi. On restera dans la chambre, le bureau ou le canap’ de préférence.

7. Combien ils gagnent les acteurs ?

Sujet tabou par excellence. De toute façon le salaire d’un acteur porno dépend d’un paquet de variable : la célébrité, le physique, les spécialités. En moyenne une scène de cul sera payée entre 300 et 800 euros (mais là encore c’est une moyenne), certaines scènes étant nettement plus rémunératrices que d’autres. En même temps c’est normal, la double-péné demande pas le même engagement physique qu’une fellation par exemple. Quoique. Seule certitude, c’est bien le seul secteur où les femmes sont mieux payées que les hommes. YAY.

8. Est-ce que les acteurs mettent toujours des capotes ?

Sujet délicat. En théorie le port du préservatif est obligatoire et s’accompagne d’un test HIV de moins de trois semaines. Dans les faits, c’est pas toujours le cas. Il arrive que pour certaines scènes par exemple on coupe le préservatif pour qu’il apparaisse à l’image (obligatoire) mais dans dans l’orifice. C’est purement pratique, quand tu tournes une scène pendant plusieurs heures, le préservatif peut causer des brûlures malgré la présence de lubrifiant. A ne pas reproduire chez vous.

9. Comment se passe les scènes tournées en extérieur ?

C’est bien simple, les scènes tournées en extérieur sont quasiment inexistantes et le cas échéant elles sont tournées à la va-vite puisque les réalisateurs porno n’obtiennent généralement pas les autorisations.

10. Qui nettoie toutes les déjections génitales ?

On l’appelle le dérameur ou « fluffer ». Au départ il était là pour aider les acteurs à rester en érection mais aujourd’hui c’est plus un boulot qui revient au secteur des maquilleurs. Ils sont là pour nettoyer les acteurs entre deux prises histoire qu’ils n’aient pas à changer de position. Miam.

11. Pourquoi parmi les millions meufs que j'ai vu en porno, y'a pas Sophie de 4e B sur qui je fantasmais ?

C’est pas parce que tu l’as pas trouvé qu’il faut pas continuer d’essayer.

Sources : Neonmag, Slate, Reddit, Slate

Top 13 des Kamoulox dans la vraie vie, j’épouse un tabouret et je collectionne Jean-Pierre Pernaut

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Kamoulox est le jeu le plus compliqué et marrant du monde. Et le jeu propose des punchlines de fifou, qui valent pas mal de points moutarde. Mais même dans la vraie, les gens sont capables de devenir des pros du Kamoulox. On regarde ça.

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